Kai Ambrosia

On joue avec le feu, on se brule mais nous n’avons pas de limite, Amby et moi nous nous allumons comme ce n’est pas permis. Nous n’avons aucune obligation l’un envers l’autre, ce n’est que tu cul et rien que ça. Même quand elle est fatiguée, j’arrive à la réveiller pour la baiser. Il m’est déjà arrivé de me lever avec la queue très droite, d’aller dans sa chambre de l’enculer et de retourner me coucher une fois mes couilles vidées. Nous sommes un peu plus que des colocataires, réellement un peu plus.

On se retrouve après quelques jours d’éloignements, j’ai rencontré cette nana au prénom irlandais. J’ai plus baisé depuis cette nuit-là. Ma coloc a commencé à me chauffer en bougeant son bassin alors qu’elle était à califourchon sur moi après m’avoir pris sans doute pour un voleur. Ensuite elle m’a laissé en plan et a quitté délibérément la pièce. Dans le salon nous avons repris notre petit jeu et j’ai pensé enfin la posséder en lui fourrant ma bite dans sa bouche. En vain, elle s’est mise à me branler à avoir une attitude provocante et coquine. J’ai laissé mes prunelles parcourir son corps divin avant de l’entendre me dire qu’elle me trouvait encore trop calme. Bordel elle abuse là… elle est finalement partie sur le balcon pour me provoquer une énième fois … salope … je me suis mis à rugir presque instantanément ! Elle est chaude comme de la braise et moi aussi … Le balcon sera donc notre terrain de jeu. Je suis à poil tout comme elle lorsque je la rejoints et que je commence à la prendre telle la chienne qu’elle est. Mon membre qui est dur comme de la pierre et sa corolle sont déjà en contact, je commence à la pénétrer sans l’avertir, putin que c’est bon … je l’entends doucement gémir, mes iris peuvent voir ses doigts se crisper sur la barrière de bois, sa bouche restée entre ouverte afin d’exprimer un désir non simulé. Je débute une série de coups de reins précis, ma queue s’enfonce presque dans son intégralité en elle, je ne vais pas encore au fond et les couilles ne claquent pas encore son intimité. Je finis par réellement m’enfoncer, allant butter le fond de son intimité. Laissant de moins en moins d’espace entre nous nous j’en viens finalement à lui glisser quelques mots vulgaires.

« T’es ma salope ce soir … bon dieu qu’est ce que j’avais envie de te défoncer le cul … Amby c’est si … bon de te baiser … »

Ma voix est rauque une fois de plus, je profite de ce moment pour placer un coup encore plus puissant que les autres, elle ne saura plus marcher demain matin à ce rythme-là … je l’entends gémir, je remarque que ses seins sont écrasés contre la rembarde de bois. Elle commence à réellement couiner comme la cochonne qu’elle est. Je l’entends me dire que c’est bon avant de proliférer une idée de merde … Je fais réellement claquer mes couilles contre son cul à ce moment-là. Je continue à la limer pour l’entendre me dire que c’est bon. Oui je sais, elle doit douiller à sentir mon épaisseur dans l’étroitesse de son antre. Je lui demande d’oublier son idée d’avoir un second mec au cul car je serai le seul à la défoncer ce soir. Je ne serai pas partageur aujourd’hui. On verra me dit-elle ? non c’est tout vu oui … bordel elle va prendre cher … J’empoigne ses hanches pour encore mieux percuter ses reins … elle prononce mon nom et j’accélère la cadence pour ne pas répondre.

Lors de mes mouvements je suis cru dans mes paroles,