DC DNO

Liam Callaway

I'm untouchable darkness, a dirty black river to get you through this. In the mouth of madness, down in the darkness

Ton Histoire

Je suis né un premier février de l’année dix-neuf cent quatre-vingt dix dans cette belle ville qu’est la Nouvelle-Orléans. Berceau du sport de haut niveau, je n’ai toutefois pas évolué dans cette sphère. Non, mes parents eux tenaient un bar, celui qui a toujours été la propriété de ma famille et ce depuis des générations. Le bar a vu la naissance du jazz dans le début des années dix-neuf cent dix. Jr Morton y a développé ce qui allait devenir son art. Fils unique et enfant arrivé sur le tard, j’ai été élevé dans l’amour d’un foyer et d’une famille unie ainsi que soudée. Etant héritier d’une des plus anciennes et plus riche famille de la ville, j’ai toujours eu une pression énorme sur les épaules. J’ai toujours dû ramener des bonnes notes alors que je suis allé dans une des écoles les plus exigeante de la ville, j’ai dû étudier deux fois plus que les autres sinon je devais m’excuser auprès du patriarche, comprenez par-là mon grand-père. Je pense que mes parents ont eu aussi leur lot de remarques en tout genre lorsqu’ils ont repris le lounge bar. Une punition ? Il ne fallait même pas y penser … si j’en avais une et bien, je me retrouvais puni durant une longue période et je devais laver le sol du bar, cela n’a jamais été le beau parquet ou la belle moquette non, non … le sort qui m’était réservé a toujours été les toilettes … encore heureux le bar a toujours été bien fréquenté ou presque … il m’est déjà arrivé de retrouver des préservatifs usagés juste à coté de la cuvette ou en dessous des éviers que cela soit chez les hommes comme chez les femmes. Je pense que ces punitions m’ont fait évoluer mais pas forcément en bien …

C’est réellement durant mon adolescence que mon impatience s’est fait ressentir, j’ai voulu tout et tout de suite à partir de cette période, me dire non ou me demander d’attendre a été sujet de nombreux conflits que cela soit avec mes parents ou encore avec des amis. En réalité, il n’y a pas eu que cela, mon envie de dominer aussi, je me suis senti puissant pour de nombreuses raisons et l’une d’entre elle a été le capitanat dans l’équipe de foot du lycée. J’ai soulevé et baisé toutes les pom-pom-girl soutenant l’équipe. Je m’en suis même tapé deux en même temps, ces deux salopes étaient chaudes comme la braise et ont voulu un plan à trois pour essayer, je ne me suis pas fait prier. Est-ce que j’en garde un bon souvenir ? A votre avis ? Un plan à trois quand on a, à peine dix-huit ans c’est juste magique !

Vient rapidement le choix de l’université, je sais ce que mes parents souhaitent que je fasse et dire que cela ne me tente pas aussi serait un mensonge. Je passe deux ans en économie, je veux devenir comptable pour le bar, il est mon héritage après tout et je ne supporterais pas de voir d’autres propriétaires que ma famille. Durant ma période universitaire, je ne fais que sortir et je rencontre des gens, normal me direz-vous. Oui et non … je m’explique, ces hommes et ces femmes font partie d’un groupe et se font nommer « the dogs of hell » comprenez par-là, les chiens de l’enfer. Original et effrayant à la fois non ? Ils ne sont pas réellement effrayants juste un peu marginaux selon le mode de pensée. Ils aiment s’envoyer en l’air de manière assez bestiale et parfois cela peut sembler dangereux, les hommes aiment déshabiller leurs femmes au couteau et les prendre là où ils se trouvent. Certains ou certaines marchent en laisse et obéissent au moindre ordre. Cela m’amuse mais arrache des soupirs à quelques amis. Une femme qui se trouve être habillée en cuir et tenue en laisse vient un soir me renifler l’entre jambe et commence à lécher ma bite à travers mon jeans, celui qui semble être son maitre arrive, ricane et tire sur la laisse, je suis surpris car il la laisse faire ensuite, il l’encourage même à continuer, c’est un jeu entre eux. Je ne sais pas encore comment réagir mais finalement l’homme s’adresse à moi et me demande si je veux aller plus loin avec elle. Comment refuser, elle m’a chauffé et je suis en train de bander désormais. Il me demande de les suivre dans les toilettes, je ne suis plus aussi chaud d’un coup, me la faire elle oui mais un plan à trois avec un autre homme non … désolé mais je ne suis pas comme ça. Finalement j’y vais j’ai trop envie de m’occuper de la fleur maléfique de la nana. J’arrive au bout d’une minute ou deux et je la retrouve seule dans une cabine, ses fesses me font fasse, elle est prête. Elle me demande de passer une capote et de m’occuper d’elle comme la bonne chienne qu’elle est. Je ne réfléchis plus, je passe le latex et la pénètre doucement, un peu trop à son gout, sans me poser d’autres question je me retire pour aller directement la sodomiser brutalement à sec, je ne retiens pas mes coups de reins et la tiens par les cheveux en lui démontant le bassin. Elle crie son plaisir à de nombreuse reprises, son mec intervient, il me demande de me grouiller tout de même … enfoiré … lorsque nous avons fini, il me tend une carte, un bar de la ville ou le groupe se retrouve en général, je ne l’ai pas encore compris mais je viens de me faire inviter à une soirée bdsm pour la première fois.

Depuis ce soir-là, il m’arrive encore de fréquenter ce club mais c’est surtout dans mon propre bar que je suis actif, nous recevons souvent des musiciens connus ou en passe de le devenir. Il y a aussi des inconnus mais nombreux sont les impresarios qui viennent pour chasser les nouvelles têtes. Ah oui je ne vous l’ai pas dit encore, mais j’ai hérité moi-même du bar il y a peu. Mes parents bien que toujours en bonne santé, J’ai poussé mon père à me laisser les rennes, je l’ai manipulé en douce pour obtenir ce que j’ai voulu. Finalement, je l’ai eu, sans réellement forcer … Ils ne sentaient plus capable de continuer et ils voyaient en moi le futur des lieux. Nous avons commencé mettre des soirées élégantes en place, cela a donné des thèmes. Avec cela, j’ai pris de nombreux rendez-vous avec des architectes, nous avons fait construire une seconde scène pour une clientèle spéciale, dédiée aux auditions et qui permettrons aux agents d’être un peu plus tranquille pour discuter argent et contrats. Nous l’avons fait décorer de manière sobre, des murs en velours au rouge scintillant, avec des matériaux insonorisés pour une plus grande tranquillité et que les ambiances ne se mélangent pas. La moquette est sombre même si c’est plus compliqué à nettoyer avec l’alcool qui peut couler à flot par moment. Nous avons un petit bijou de travail pour tout le monde et nous en sommes heureux.
Aujourd’hui, le club est réputé et connu de tous, j’y trouve mon bonheur en laissant la musique enivrer les sens de tout à chacun et de chauffer l’ambiance pour ceux qui le souhaitent et de partir consommer autre chose au club voisin. Mes employés ne se plaignent pas de ma manière de les diriger et même s’ils le faisaient, je m’en moquerais car ce caractère de bosseur fait partie des valeurs familiale.

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