trio hard

Je suis dans le bureau d’Hammer quand ce dernier reçoit un appel qui semble important au point de durer de longues minutes, je l’entends dire qu’il n’a pas le temps et qu’il enverra son homme de main pour cette affaire, qu’il garanti de sa fiabilité. Je comprends que c’est de moi qu’il parle. Je suis en quelques sortes son homme de main et son plus proche collaborateur. En plus d’être son frère de queue vu que nous sautons les mêmes nanas la plus part du temps et j’ai l’autorisation de toucher Anabella, la favorite de mon patron.
ne savais pas depuis combien de jours je croupissais dans ce cachot. Oui, c’était un cachot, avec un simple lit, une salle de bain et des toilettes. Aucune tenue de rechange ne m’avait été donné, je passais mes journées et mes nuits totalement nue, avec pour seul tissus, le drap du lit. Cette nuit, où tout avait changé, tournait dans ma tête, le coup sur ma tête, avait été tellement violent que j’en avais perdu connaissance. Je ne savais pas vraiment combien de temps j’avais dormi, mais quand je me réveillais, je me retrouvais entre ces quatre murs, la tête vaseuses, les lèvres sèches, la bouche pâteuse. Je sentais une douleur étrange sur mon bras et alors que je tentais de tourner la tête pour regarder, je fus prise de tournis, mon corps était lourd, je ne pouvais pas bouger. Je perdis de nouveau connaissance. Je me réveillais avec une odeur étrange, un plateau était sur la table de nuit avec une assiette et une seringue, un homme au dessus de moi en train de la retirer de mon bras « dors bien la belle au bois dormant, on va se faire du fric avec toi … dors » . Les jours se suivaient, et se ressemblaient. Les premiers jours, je hurla, tentant de me faire entendre, mais tout ce que je voyais, c’était cette main qui me donnait mes plateaux et du linge propre. Je me rendis vite compte que j’attendais ce produit qui me rendait si bien, et en même temps, qui me rendait dingue, une envie, un désir, j’avais envie de sexe avec une telle force, que plus d’une fois, je me touchais pour jouir en solo. Je ne voyais plus personne, sauf ce regard noir qui passait la nuit quand je ne m’y attendais pas, parfois j’avais envie de plus, mais son rire était inquiétant, ses mains se baladaient sur mes courbes, jamais suffisamment pour me soulager, juste pour m’exciter. Je rageais. La nuit tombait quand une femme entra et me dit de la suivre après m’avait enchainé les mains. "je suis où? Je fais quoi ici? Où est mon mari?répondez moi bon sang" elle ria à cette dernière question et un frisson me parcouru la nuque, mais elle ne répondit à rien. Elle me mena dans une salle de bain et me dit de me laver correctement et ensuite, elle me fit une épilation total, me parfuma et me badigeonna de la crème sur tout le corps. Une heure après, elle me ramenait dans le cachot, me laissant avec mes questions sans réponse et avant même de comprendre, elle m’enfonça la seringue dans le bras, me faisant perdre connaissance. Quand je me réveillait, je me retrouvais Attacher à un des murs, me forçant à rester les bras en hauteur pour dormir. Peu de temps après, j’entendis ce cliquetis dans la porte, mais venant d’avoir ma dose, ma tête tournait, je sentais mon corps bruler, envieux. Depuis que j’étais dans ce trou, c’était la première fois que la porte s’ouvrait autre que cette femme juste avant, je me demandais qui cela pouvait être, ce qui allait m’arriver.