Au fil du temps, je remarque ses progrès, le fait qu’elle retrouve ses marques facilement sans trop se poser de questions. Je lui ai parlé durant de long moment de notre chambre qu’elle m’a laissé décorer en apportant sa touche féminine. Lui refusant tout accès en ma compagnie dans cette pièce pour ne pas la brusquer, je l’ai pourtant offensée alors que je n’ai rêvé que de l’y pilonner. Je sais que si nous avions franchis le pas de la porte, je l’aurais jeté sur le lit lui aurait arraché ses vêtements et l’aurais baisé comme un animal alors que cela m’était défendu et interdit. Ma libido en a pris un sérieux coup.
Sa façon de me regarder me rend fou, je ne peux décoller mes iris des siennes, je la laisse se cambrer et déboucler ma ceinture alors qu’elle est sur mes genoux, la vue de mon sexe semble lui plaire, j’esquisse un léger sourire, je sens sa main aller partout sur mon corps, j’en frissonne même. Cela tellement de bien de la retrouver de cette manière. A de nombreuses reprises j’ai failli faire exploser ma braguette et un de mes amis m’a même conseillé d’aller démonter une autre chatte en attendant que Charlie puisse avoir à nouveau des coïts. Bordel de dieu, s’il savait que j’ai déjà sauté la voisine un soir … Je ne préfère même plus y penser, ce soir-là, j’avais trop bu et je pensais Charlie condamnée à cause de ce fils de pute de médecin. Elle a fait sortir le diable de sa boite, droit comme un piquet,